La tribune de VDS dans Sceaux Magazine de décembre 2008

La Maison Renaudin :

 

La bonne nouvelle est que ce projet de rénovation et agrandissement (98 chambres aux nouvelles normes et, 10 lits d’hospitalisation de jour pour des personnes frappées de la maladie d’Alzheimer) est en passe de se réaliser. Il répond au souci de manque de structures d’accueil pour personnes âgées.

 

La mauvaise est que le permis de construire accordé entraîne, place du général de Gaulle, la destruction quasi complète du pavillon Voltaire chargé d’histoire du 18e siècle (notamment la révolution de 1789). Nous allons œuvrer pour que ce projet soit revu en conciliant les besoins de nos anciens et la conservation de notre patrimoine.

 

Envoyez nous vos avis.

Le pavillon Voltaire
Le pavillon Voltaire
Le projet Renaudin
Le projet Renaudin

La tribune de VDS dans Sceaux Magazine de décembre 2008

La mairie n’a pas publié, par erreur de sa part, notre tribune de novembre 2008. Elle a été reprise amputée dans ce numéro Sceaux Magazine de décembre 2008. Le renvoi du titre de notre Tribune en bas de texte en rend la compréhension difficile.

 

Voici d'abord notre texte rétabli dans le bon ordre pour une lecture aisée

 

« Nos choix font parfois preuve d’audace. C’est ce qui fait le sel de la vie. Je prends un risque sur l’avenir. »

(P. Laurent : 27 01 2005)

 

Ces propos résonnent étrangement aujourd’hui au vu de l’article du journal Capital (n°205) qui épingle Sceaux au tableau des «villes qui matraquent » (www.capital.fr).

 

Que M. Laurent prenne des risques avec son argent est son affaire. Qu’il spécule sur les revenus futurs des Scéens est inacceptable.

 

Depuis 4 ans, la Voix des Scéens ne cesse de l’interpeller sur ses dépenses surdimensionnées qui, en cette période de crise, portent fortement préjudice au pouvoir d’achat des Scéens et à leurs besoins en services.

 

Les intérêts d’une dette énorme (54 M€) dont la moitié à taux variable pèsent lourd sur les comptes de la ville : 300 000 € de plus en 2008.

 

Les Scéens dont salaires et retraites augmentent peu paient encore en 2008 ces erreurs de gestion : +14% de taxe foncière et +9,5% de taxe d’habitation (part communale) dans la ville la plus chère de sa catégorie. Le maire va-t-il enfin entendre raison ?

 

Voici ensuite la présentation réservée par la Rédaction de Sceaux Magazine